(Bientôt des souvenirs ! Nous l’espérons)
Quoique l’on puisse entendre, n’hésitons pas à sacrifier nos nappes pour fabriquer des masques et nous protéger mutuellement dans les espaces publics ou en présence d’autres personnes à proximité. Non point pour faire « barrière » mais pour nous protéger.
Et depuis le « dé-confinement » du 11 mai, je garde mon masque contre le virus mais aussi, à bicyclette, contre les mauvaises odeurs des pots d’échappement. Les particules toxiques sont revenues après deux mois de répits ! Au secours