Le Coronavirus n’aime pas les masques et je n’aime pas le virus.

(Bientôt des souvenirs ! Nous l’espérons)
Quoique l’on puisse entendre, n’hésitons pas à sacrifier nos nappes pour fabriquer des masques et nous protéger mutuellement dans les espaces publics ou en présence d’autres personnes à proximité. Non point pour faire « barrière » mais pour nous protéger.

On peut même donner des noms à nos masques : l’envol de l’oiseau, le coquillage, le soleil (par le tailleur/couturier Georges Lawson de Montreuil), la guerrière (masque ouzbek de travailleuse), l’agente secrète bretonne (l’influence de mes 2/3 racines bretonnes) et les Cauris (coquillage dont la forme est associée au sexe féminin ou à des noix)…

Et depuis le « dé-confinement » du 11 mai, je garde mon masque contre le virus mais aussi, à bicyclette, contre les mauvaises odeurs des pots d’échappement. Les particules toxiques sont revenues après deux mois de répits ! Au secours